« Lorsque j’avais dix ans, mon professeur me fit entendre pour la première fois le timbre si particulier du bayan (accordéon russe) sur un disque 33 tours. Friedrich Lips y jouait les Suites pour enfants de Viacheslav Zolotarev sur un modèle Jupiter… »
Si la découverte de ce répertoire m’a conquis d’emblée, j’étais immédiatement saisi par la beauté inouïe du son de ce type d’instrument, sa richesse harmonique et son potentiel dynamique. Alors germait en moi le rêve de pouvoir jouer un jour sur un bayan… » B.M.